Les 7 mégatendances RH pour 2024 et 2025

Jeremy Lamri
14 min readJan 7, 2024

Nous sommes en 2024, et les professionnels des RH se trouvent à l’intersection de multiples défis et opportunités, qui redéfinissent non seulement leur rôle mais aussi l’essence même du travail. Cet article plonge au cœur des 7 mégatendances qui façonneront les RH pour 2024 et 2025, offrant un aperçu de ce que l’avenir réserve aux organisations et à leurs collaborateurs.

1) Gestion des nouvelles formes de travail

Les concepts clés

  • Télétravail
  • Travail hybride
  • Travail virtuel
  • Freelancing
  • Semaine de 4 jours

D’où vient cette mégatendance ?

L‘ère post-pandémie a accéléré l’adoption des formes de travail flexibles comme le télétravail, le travail hybride, ou même le travail virtuel. Oui, vous vous rappelez du métavers ? Et bien ne riez pas, ça revient bientôt. Cette mégatendance est due à la nécessité d’assurer la continuité des activités en période de confinement, mais aussi à la reconnaissance des avantages qu’offre la flexibilité pour l’équilibre vie professionnelle-vie privée. Les entreprises se retrouvent donc confrontées à la nécessité de repenser leurs politiques et structures de travail pour intégrer ces nouvelles modalités, en veillant à maintenir la productivité, la cohésion d’équipe, et la culture d’entreprise. Pas simple…

Comment les RH peuvent gérer cette priorité ?

Les RH jouent un rôle clé dans la gestion de cette transition. Ils sont au coeur de l’élaboration des politiques de travail flexibles, en conciliant au mieux les attentes des collaborateurs et les objectifs de productivité et de lien social. Parmi les modalités à prendre en compte, on parle des lignes directrices sur les heures de travail, l’équipement de bureau à domicile, et les attentes en matière de communication. Les RH doivent aller plus loin sur la transformation culturelle des outils qui facilitent la collaboration à distance. Cela implique notamment à mettre en place des programmes de formation pour aider les collaborateurs et leurs managers à s’adapter à ces nouvelles formes de travail. In fine, l’object doit être de valoriser la flexibilité, la confiance, et l’autonomie, tout en veillant à maintenir l’engagement et la cohésion d’équipe.

Quels risques si les RH ne gèrent pas ce sujet ?

Si les RH ne parviennent pas à gérer efficacement cette mégatendance, il faut s’attendre en premier lieu à une baisse certaine de la productivité et de l’efficacité des équipes. Le cadre est un élément clé pour gérer cette priorité, et en l’absence de lignes directrices claires, il faut s’attendre à une augmentation de la confusion et des inégalités, nuisant à la motivation et à l’engagement des collaborateurs. La suite logique est alors un affaiblissement de la cohésion d’équipe et de la culture d’entreprise. Mais le plus important, c’est que sans une gestion adéquate, des problèmes de santé mentale et de burnout peuvent survenir, en raison de l’isolement ou d’une charge de travail mal équilibrée. Tous ces facteurs peuvent finalement conduire à une augmentation du turnover, à une détérioration de la marque employeur, et à une perte de compétitivité sur le marché. Boum, talent bomb et tout !

2) Digitalisation des outils et usages

Les concepts clés

  • Digital (ou numérique pour les puristes)
  • IA & IA génératives
  • Blockchain
  • Réalité virtuelle
  • Réalité augmentée

D’où vient cette mégatendance ?

La transformation digitale n’est pas nouvelle, mais elle s’est accélérée de manière spectaculaire. Au cœur de cette révolution : l’intégration de L’IA bien évidemment, et j’en ai déjà beaucoup parlé dans cet article ou encore dans cet article, mais aussi d’autres technologies comme la blockchain et la VR/AR dans les processus RH. C’est une réponse à la quête permanente de productivité, d’excellence et de contextualisation en matière de gestion des talents et de transformation du travail. Mais attention, l’équation n’est pas si simple. Adopter ces outils de manière éthique et humaine est un véritable défi, afin d’éviter les pièges de la déshumanisation et de garantir la protection des données personnelles. La digitalisation n’est donc pas qu’une question de technologie, mais aussi de valeurs et de responsabilité.

Comment les RH peuvent gérer cette priorité ?

Les RH, gardiens de l’équilibre humain au sein de l’entreprise, ont un rôle crucial à jouer. D’abord, ils doivent être des pionniers dans l’adoption des nouvelles technologies tout en restant conscients des enjeux éthiques. Cela implique de choisir des outils qui non seulement optimisent les activités RH comme le recrutement et la développement des talents, mais qui respectent aussi l’éthique et la confidentialité. Les RH doivent également jouer le rôle de médiateur entre la technologie et les collaborateurs, en s’assurant que tout le monde est à bord. On parle ici d’enjeux de formation et de sensibilisation aux nouvelles pratiques, ainsi qu’à une culture de la donnée saine et respectueuse. Tout cela pour que la technologie soit un levier d’humanisation, pas l’inverse.

Quels risques si les RH ne gèrent pas ce sujet ?

Ne pas monter dans le train de la digitalisation n’est pas une option, mais le faire de manière inadéquate peut être tout aussi préjudiciable. Une intégration maladroite de la technologie peut conduire à des dysfonctionnements majeurs et une perte de confiance dans les processus. Sans parler de la compétitivité : rester à la traîne dans l’adoption des technologies avancées peut faire perdre aux entreprises leur avantage concurrentiel, et leur attractivité.

3) Santé mentale et bien-être

Les concepts clés

  • Santé mentale
  • Bien-être au travail
  • Épuisement professionnel / Burnout
  • Soutien psychologique
  • Résilience organisationnelle

D’où vient cette mégatendance ?

Le bien-être au travail a pris une dimension nouvelle et incontournable. Longtemps reléguée au second plan au travers de la gestion des risques psychosociaux, la santé mentale des collaborateurs est désormais au cœur des préoccupations des meilleures entreprises. Cette évolution est en partie due à une meilleure compréhension des impacts du stress, de l’isolement et de la pression sur la performance et la satisfaction au travail. La pandémie a agi comme un catalyseur, révélant l’importance cruciale du soutien psychologique et de la résilience organisationnelle. Aujourd’hui, ignorer cette dimension humaine, c’est prendre le risque de voir s’effriter la santé de l’entreprise elle-même.

Comment les RH peuvent gérer cette priorité ?

Les RH sont en première ligne pour répondre à ces enjeux. Ils doivent tout d’abord développer et promouvoir des programmes de bien-être adaptés, allant de la prévention du stress à des initiatives favorisant l’équilibre vie professionnelle-vie privée. Cela passe aussi par la mise en place de services de soutien psychologique, comme des consultations avec des psychologues ou l’accès à des plateformes de soutien en ligne. Les RH ont également un rôle crucial à jouer dans la formation des managers, qui doivent être en mesure de reconnaître les signes de détresse chez leurs équipes et d’agir en conséquence. Enfin, promouvoir une culture d’entreprise bienveillante, où chaque voix peut être entendue et chaque problème abordé sans crainte, est essentiel pour maintenir un environnement de travail sain et solidaire.

Quels risques si les RH ne gèrent pas ce sujet ?

L’absence d’une gestion adéquate de la santé mentale et du bien-être au travail peut avoir des conséquences désastreuses. Bien sûr, il y a le sujet de l’épuisement professionnel, de la dépression et de l’anxiété. Non seulement ces maux impactent la productivité, l’engagement et la motivation, mais cela peut aussi conduire à une hausse du turnover et à une détérioration de la marque employeur. Négliger cette mégatendance, c’est jouer avec le feu. À bon entendeur !

4) Diversité & Inclusion

Les concepts clés

  • Diversité
  • Inclusion
  • Équité
  • Égalité des chances

D’où vient cette mégatendance ?

La diversité et l’inclusion ne sont pas de nouveaux concepts, mais leur importance a été catapultée au premier plan dans le contexte mondial actuel. Cette prise de conscience généralisée n’est pas seulement un impératif moral ou social, mais est également reconnue comme un moteur clé de performance et d’innovation. Des études montrent que les équipes diversifiées sont plus créatives, plus résilientes et mieux à même de résoudre des problèmes complexes. Face à cela, les entreprises sont appelées à repenser leurs politiques et pratiques pour devenir des lieux où chaque talent, peu importe son origine, son genre ou ses capacités, peut s’épanouir et contribuer pleinement. C’est un défi de taille, mais aussi une opportunité extraordinaire.

Comment les RH peuvent gérer cette priorité ?

Les RH sont les architectes de cette transformation. Ils doivent instaurer des politiques de recrutement équitables, en veillant à minimiser les biais et à promouvoir une représentation équilibrée à tous les niveaux de l’entreprise. Mais l’inclusion ne s’arrête pas à l’embauche. Les RH doivent également développer des programmes de formation et de sensibilisation pour tous les collaborateurs, encourageant une compréhension et une appréciation profondes de la diversité. Mettre en place des mécanismes de feedback est également crucial pour évaluer l’impact des initiatives en place et pour identifier les domaines nécessitant des améliorations. Enfin, promouvoir une culture où l’inclusion est vécue au quotidien, et pas seulement affichée sur les murs, est essentiel pour ancrer ces valeurs dans le tissu même de l’entreprise.

Quels risques si les RH ne gèrent pas ce sujet ?

Ignorer ou gérer maladroitement les enjeux de diversité et d’inclusion peut avoir des répercussions sérieuses. Cela peut conduire à un manque de diversité des perspectives, réduisant la capacité de l’entreprise à innover et à s’adapter à un marché mondialisé. Ensuite, cela peut créer un environnement de travail où seuls certains groupes se sentent valorisés, conduisant à une baisse de l’engagement et de la satisfaction au travail pour les autres. À long terme, cela peut également affecter la réputation de l’entreprise, la rendant moins attrayante pour les talents de haut niveau et pour les clients qui valorisent l’inclusion. Ne pas adresser ces enjeux, c’est prendre le risque de voir votre entreprise stagner, tant sur le plan humain que commercial. Alors, prêts pour le changement ?

5) Transformation de la fonction RH

Les concepts clés

  • Vision stratégique
  • Technologie éthique
  • Communication transparente
  • Résistance au changement
  • Données RH

D’où vient cette mégatendance ?

La fonction RH est en pleine mutation. Loin de se limiter à la gestion administrative du personnel, elle devient une pièce maîtresse de la stratégie et de la culture d’entreprise. Cette transformation est poussée par la nécessité de répondre à des enjeux complexes : intégration des technologies, gestion des changements constants, alignement sur les objectifs stratégiques, sans oublier l’impératif d’une approche plus humaine et éthique. C’est un vaste chantier, un peu comme rénover une cathédrale tout en continuant d’y tenir des offices quotidiens. Pas simple, mais passionnant.

Comment les RH peuvent gérer cette priorité ?

Les RH doivent se réinventer en gardiens de l’humain dans un monde digital. Une mission aussi ambitieuse commence par adopter une vision stratégique, en étant proactifs et en anticipant les besoins futurs de l’organisation et des collaborateurs. Ils doivent ensuite intégrer de manière éthique les outils technologiques, veillant à ce que ces derniers améliorent et non remplacent l’interaction humaine. La communication transparente est la clé : il faut dialoguer ouvertement avec les collaborateurs, recueillir leurs feedbacks, et les impliquer dans les processus de changement. Enfin, les RH doivent apprendre mieux appréhender les données talents, pour éclairer les décisions sans perdre de vue l’aspect humain. Et n’oublions pas, les professionnels RH sont eux-mêmes des humains, confrontés à une pression croissante. Prendre soin de leur propre santé mentale est donc essentiel pour qu’ils puissent prendre soin des autres.

Quels risques si les RH ne gèrent pas ce sujet ?

Si les RH ne parviennent pas à évoluer avec leur temps, les conséquences peuvent être sévères. D’abord, une déconnexion avec la stratégie d’entreprise et les besoins des collaborateurs peut mener à des décisions inadéquates et à une perte de compétitivité. Mais une mauvaise gestion du changement peut également entraîner une résistance généralisée, sapant les initiatives et l’innovation. Surtout, négliger la santé mentale de la fonction RH elle-même peut conduire à l’épuisement professionnel et à une baisse de performance de toute l’équipe. Ne pas prendre en main la transformation RH, c’est comme ignorer une fuite dans la toiture : ça peut tenir un moment, mais tôt ou tard, ça s’effondre. Alors, prêts pour le grand chantier ?

6) Transition écologique

Les concepts clés

  • Développement durable
  • Transition écologique
  • Pratiques durables
  • RSE
  • Limites planétaires

D’où vient cette mégatendance ?

La transition écologique n’est plus une option, mais une nécessité. Confrontées à des défis environnementaux sans précédent, les entreprises reconnaissent de plus en plus leur rôle dans la promotion de la durabilité. Cela va bien au-delà du recyclage dans la salle de pause ; il s’agit d’une transformation profonde des pratiques, des politiques et de la culture d’entreprise. On parle ici de transformations de Type II. Les RH sont en première ligne de cette révolution verte. Ils doivent non seulement intégrer des critères écologiques dans leurs politiques, mais également promouvoir une culture de la durabilité qui imprègne chaque aspect de l’organisation. C’est un défi de taille, mais c’est aussi l’opportunité de construire un avenir plus vert et plus sain pour tous.

Comment les RH peuvent gérer cette priorité ?

Les RH sont les catalyseurs du changement. Pour commencer, ils peuvent initier des programmes de sensibilisation environnementale pour éduquer et engager les collaborateurs sur les enjeux écologiques. Cela peut inclure des ateliers, des défis d’équipe, et des campagnes de communication interne. Ensuite, encourager et faciliter des pratiques durables au quotidien est essentiel. De la promotion du covoiturage à l’adoption de politiques de travail à distance pour réduire les déplacements, il y a de quoi faire, même s’il faut le faire de manière cohérente. Les RH doivent également intégrer des critères écologiques dans les politiques d’achat, de recrutement et de partenariat de l’entreprise.

Quels risques si les RH ne gèrent pas ce sujet ?

Ignorer la transition écologique peut avoir des conséquences graves. D’une part, l’entreprise pourrait se retrouver déconnectée des attentes croissantes des clients, des collaborateurs et des régulateurs en matière de durabilité, ce qui pourrait nuire à sa réputation et à sa compétitivité. D’autre part, ne pas promouvoir une culture de durabilité peut entraîner une baisse de l’engagement et de la satisfaction des collaborateurs. Ne pas enclencher cette transition, c’est non seulement passer à côté d’une opportunité de leadership et d’innovation, mais aussi risquer de se retrouver à la traîne dans une économie de plus en plus verte. Green is the new gold !

7) Éthique numérique et éthique de l’IA

Les concepts clés

  • Éthique numérique
  • Intelligence Artificielle
  • Transparence
  • Respect de la vie privée

D’où vient cette mégatendance ?

L’IA et les technologies numériques avancent à une vitesse fulgurante, apportant avec elles un potentiel incroyable pour transformer le milieu de travail. Mais avec une grande pouvoir vient une grande responsabilité. Oui, un peu comme dans les comics. L’éthique numérique devient donc une priorité cruciale, abordant des questions de transparence, de respect de la vie privée, et de l’utilisation responsable de l’IA. Les entreprises doivent naviguer dans des considérations éthiques loin d’être clairs et tranchés, pour exploiter le potentiel de ces technologies tout en préservant les valeurs humaines fondamentales.

Comment les RH peuvent gérer cette priorité ?

Les RH, en collaboration étroite avec les équipes IT, sont au premier plan des enjeux de l’éthique de l’IA. Leur premier rôle est d’établir des principes éthiques clairs qui guideront l’utilisation de l’IA et des technologies numériques dans l’entreprise. Cela inclut le respect de la vie privée des employés, la transparence dans l’utilisation des données, et l’assurance que l’IA est utilisée pour compléter et améliorer les capacités humaines, et non pour les remplacer. De plus, organiser des formations et des débats sur l’éthique de l’IA est crucial pour sensibiliser les collaborateurs à ces questions et les préparer à les aborder de manière responsable. Enfin, les RH doivent veiller à ce que ces principes soient intégrés dans toutes les politiques et pratiques de l’entreprise, créant ainsi une culture où l’éthique numérique est une seconde nature.

Quels risques si les RH ne gèrent pas ce sujet ?

Ignorer l’éthique numérique et de l’IA est un jeu dangereux. Sans une gestion appropriée, les entreprises risquent des violations de données, des pertes de confiance des employés et des clients, et même des conséquences juridiques. De plus, une utilisation irresponsable de l’IA peut conduire à des décisions biaisées ou inéquitables, sapant la diversité et l’équité dans le milieu de travail. À long terme, cela peut nuire à la réputation de l’entreprise, à son attractivité pour les talents, et à sa compétitivité globale. Ne pas prendre en compte l’éthique dans l’adoption des technologies numériques, c’est un peu comme naviguer sans boussole ni carte sur une mer déchainée. Alors, prêts à fixer le cap ?

Vers une fonction RH stratégique

Une mauvaise gestion des priorités de la fonction RH est un naufrage garanti sur la gestion des talents. Depuis une dizaine d’années, la gestion des talents est devenue hautement stratégique, bien loin des modes désuettes de la simple communication employeur sans lien avec la réalité de l’organisation. Les organisations les plus avancées en la matière sont aujourd’hui en mesure d’aborder la gestion des talents sous n’importe quel angle, toujours avec la même logique : la bonne compétence, au bon coût, au bon moment.

Parce qu’un graphique vaut mieux que de longues phrases, voici la manière dont on appréhende la nouvelle organisation de cette fonction RH, pour faire face aux 7 mégatendances qui construisent le futur du travail et des organisations :

En y regardant de plus près, cette chaine de valeur repensée de la fonction RH moderne n’est pas seulement une structure générique, mais une véritable feuille de route pour transformer les organisations et les préparer à une vraie résilience organisationnelle. Il s’agit d’un appel à repenser la manière dont nous interagissons avec nos collaborateurs, comment nous les soutenons dans leur développement et comment nous nous adaptons pour traverser l’ère de polycrises qui nous attend.

CONCLUSION

Au seuil de 2025, nous nous tenons à la confluence de défis et d’opportunités sans précédent. Les 7 mégatendances RH explorées dans cet article ne sont pas de simples prédictions ou des phénomènes isolés. Elles représentent les lignes de force d’une transformation profonde, un appel à repenser radicalement la fonction RH et son impact sur les organisations et les individus.

Dans les années à venir, la fonction RH deviendra encore plus essentielle. Mais pour que ce soit vrai, elle ne pourra se contenter d’une gestion réactive ou d’une simple adaptation. Elle doit devenir un moteur de changement stratégique, un architecte de cultures résilientes et inclusives, et un gardien éthique dans un monde numérisé. Cela demande non seulement une maîtrise des outils et des stratégies, mais aussi un engagement profond envers les valeurs humaines qui font le cœur de toute organisation.

Bien que certaines tâches administratives puissent être automatisées, le rôle des RH en tant que stratège du capital humain, facilitateur de la culture d’entreprise et défenseur des collaborateurs ne fera que gagner en importance. Les défis futurs, tels que la gestion du changement, l’intégration des nouvelles technologies, la promotion de la diversité et de l’inclusion, et la gestion de la santé mentale des employés, nécessiteront une approche RH toujours plus sophistiquée et plus humaine.

La feuille de route est claire, mais le voyage ne sera pas simple. Il faudra de l’audace, de la vision, et un engagement inébranlable envers les principes éthiques et humains. Mais si nous réussissons, nous pouvons transformer non seulement nos lieux de travail, mais aussi le tissu même de nos sociétés et de nos vies.

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[Article rédigé le 7 janvier 2023 par Jeremy Lamri avec le support de l’algorithme Open AI GPT-4. Images générées avec Adobe Firefly 2 et DALLE 3].

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Jeremy Lamri

CEO @Tomorrow Theory. Entrepreneur, PhD Psychology, Author & Teacher about #FutureOfWork. Find me on https://linktr.ee/jeremylamri